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Le logiciel de Publication Assistée par Ordinateur. On y utilise des fontes vectorielles encore peu répandues à l'époque permettant d'avoir des impressions conformes à l'écran. Par contre, il faut mieux l'utiliser avec 1Mo de RAM car les 512Ko du ST de base sont vite remplis. Le gros avantage : il est WYSIWYG contrairement au rédacteur (voir la description du logiciel "Le rédacteur" pour l'explication de ce charabia)... |
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Le logiciel de Musique Assistée par Ordinateur. Grâce à la présence de l'interface midi en standard, l'Atari ST est devenu l'ordinateur des musiciens. Cubase est donc une grosse usine à faire de la musique et qui a naturellement migré vers les environnements MAC et Windows lors du déclin d'Atari. |
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Un logiciel de dessin qui fonctionnait sous le bureau GEM standard. Ses formats de sauvegarde sont *.PI1,2,3 ou *.PC1,2,3. Les chiffres correspondent à la résolution de l'atari (basse en 16 couleurs, moyenne en 4 couleurs ou haute en 2 couleurs). Les lettres I ou C correspondent à un format compressé ou non. |
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Un langage de programmation accessible à tout le monde mais aussi très puissant. Les vétérans se souviendrons du fameux concours de GFA Punchs dans ST Magazine où l'on devait programmer un logiciel en 20 lignes maximum de GFA : Un tetris a été réalisé en respectant cette règle !... (Voir à droite). |
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Le traitement de texte phare sur Atari. Développé pour la rédaction du journal Libération, il aurait été dommage que le grand public ne puisse pas l'acheter. Pour la petite histoire, c'est un des premiers traitements de texte à avoir intégrer un correcteur orthographique et grammatical français. Il fut si performant qu'il est à l'origine du correcteur orthographique français de Microsoft Word. Par contre, il ne connaît pas l'affichage WYSIWYG (What You See Is What You Get = Ce que vous voyez est ce que vous avez). En effet, l'affichage sur écran n'inclue pas toutes les mises en forme (marge, polices,etc...) C'est un logiciel conçu pour la frappe au kilomètre. |
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Le logiciel de dessin bitmap (dessin point par point) qui a permis à de nombreux artistes en herbe de s'exprimer. Son point fort résidait dans sa fonction loupe en temps réel. C'est vrai qu'un dessin réalisé pixel par pixel, ça demandait une certaine patience ...
Le manuel est dispo sur
Un dernier cadeau, le manuel paru dans Start Micro Magazine :
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Un soundtracker
venu du monde concurrent de l'amiga. Grâce à ce type de logiciel, les
musiques ressemblaient enfin à quelque chose : Fini le temps du soundchip
et bienvenu aux sons digitalisés.
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Logiciel de
dessin qui permet de dépasser la limite des 16 couleurs par image. En
effet, il était possible d'en afficher 512 mais le pauvre Atari ne pouvait
plus rien faire en parallèle (Animation de l'image impossible par exemple). Le manuel est dispo sur
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Ensuite, arriva l'
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tari
Falcon
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